Une nuit, quatre hommes à cheval devaient retorner à leur village. Ils venaient de travailler dans des récoltes.
Les trois premiers avaient touché beaucoup d´argent pour leur travail, mais le dernier, le plus malheureux, retournait avec ses poches vides parce que dans la récolte où il avait travaillé il y a avait eu un incendie.
La nuit était très froide et obscure, tellement obscure que les hommes ne pouvaient pas se voir entre eux. Ils chavauchaient très rapidement.
Quand ils étaient au milieu de la plaine, devant du le premier cavalier la mort a apparu, et son cheval s´été arrêté.
MORT. – Tu dois venir avec moi, c´est l´heure de trouver le lieu où tu mourras.
L´homme, presque instintivement, a essayé , inutilement, de l´ataquer avec son machette. Puis, en pleurant, l´homme a prié à la mort de le laisser continuer son chemin. Et il lui a dit:
CAVALIER #1. – Pourquoi tu n´emmènes pas celui qui vien derrière moi?
La mort sdans rien dire a accordé a l´homme son souhait. Le cavalier a continué son chemin.
Il faisait très froid, il faisait tellement de froid , qui si on abatí pu voir quelque chose, on aurait vu des bouffées d´air des chevaux.
Comme la mort n´avait pas emené le premier homme, elle a arrêté le deuxieme.
MORT . – Tu dois venir avec moi, c´est l´heure de trouver le lieu où tu mourras.
Le cabalier a essayé “d´acheter sa vie” à la mort avec l´argent qu´il abatí touché pour son travail. Mais comme elle ne répondait pas, l´homme est devenu désespéré.
CAVALIER #2. – Sil te plaît, ne m´emmènes pas, j´ai beaucoup à vivre encore!
MORT . – J´ai déjà laissé continuer le premier, tu dois venir avec moi.
CAVALIER #2. – Laisse-moi continuer aussi, emmène celui qui vien derrière moi.
Toujours silencieuse, la mort l´a laissé continuer, comme elle avait fait avec l´anterieur et a attendu le suivent.
Chaque fois il faisait plus froid, les chevaux galopaient par les pâturages, en marchant sur le givre. Il y avait beaucoup de vent. Il êtait nécesaire de se couvrir le visage pour ne pas se blesser la peau.
Quand le troiseme cavalier est arrive, il s´est arrête et a regardé la mort.
MORT. – Tu dois venir avec moi, c´est l´heure de trouver le lieu où tu mourras.
MORT . – J´ai déjà laissé continuer les deux premiers, tu viens avec moi.
CAVALIER #3. – Si tu as déjà laissé continuer les deux premiers, laisse-moi continuer moi aussi. Celui qui vient derrièr moi, est le dernier. Il n´a aucune chance de s´en sortir.
Encore une fois, la mort, qui êtait en colère, l´a liberé de son destin. Et l´homme a continué son chemin.
Cette nuit là d´hiver, tellement obscure comme la bouche d´un loup, ne se laissait traverser que par un petit faisceau de lune. Les sabots resonnaient dans le silence et le froid engourdissait tout le corps.
Finalement, le dernier cavalier va été arrêté par la mort.
MORT. – Tu dois venir avec moi, c´est l´heure de trouver le lieu où tu mourras. Les toris premiers ont continuéleur chemin à condition de que tu viennes avec moi.
Même s´il était impatient pour retourner chez lui et irrité d´avois été libré aux mains de la mort. Il a pensé que retourner avec les poches vides était piore que ne pas y retourner.
CAVALIER #4. – D´accord, j´irai avec toi.
Il a suivi la mort pendant une heure, jusqu´à la banlieue d´un village. Étonneé l´homme a reconnu son village.
CAVALIER #4. – C´est ici où je mourrai? Dans mon village?
MORT. – Oui.
CAVALIER #4. – De quoi je vais mopurir ¿
MORT. – De vieillesse quand tu seras grand-père
CAVALIER #4. – Alors, pourquoi tu m´as arrêté sur le chemin?
MORT. – Parce que sans le savoir, pendant la marche, tu t´es détourné comme les trois premiers. Si vous aviez suisuivi, toi et ton cheval, vous seriez morts de froid.
(Elle a fait une pause) Et baprès ella a continué:
MORT. – Maitenant, je dois partir, je ne veux pas arrivewr en retard, j´ai trois âmes à ramasser.